Aimer, c’est parcourir le chemin de la vie. C’est un long chemin qui demande réflexion et appréciation, Un
chemin où il faut soulever chaque pierre que l’on doit poser, Devant chacun de nos pas… Même si l’on se trompe, nos pierres
marqueront la terre, Nos pas seront nos pas et la
lumière sera le point final
de nos illusions. Marlène DELRIEUX
Charly a rejoint les ANGES ...A bientôt Beau ^Gosse ....On ira tous au Paradis
CALINE, Magnifique et tendre petite chatte qui vit actuellement dans un parking 95 Fosses et dors sous un buisson !
Eviter lui de passer l'hiver au froid, elle a deux ans et en bonne santé, mais l'hiver approche.
ADOPTION REUSSIE
Nos assiettes à la loupe : résultats d’un rapport sur l’utilisation des antibiotiques sur les animaux En février 2011, l’agence nationale du médicament vétérinaire (ANMV) a publié son rapport annuel sur l’utilisation, en France, des antibiotiques sur les animaux. Les chiffres sont inquiétants et One Voice dénonce une fois de plus l’irresponsabilité des élevages industriels et leurs conséquences sur la santé humaine et animale. Les chiffres En France, depuis 1999, un suivi des ventes de médicaments vétérinaires contenant des antibiotiques a été mis en place. L’ANMV vient de publier les chiffres pour l’année 2009. Au total, ce sont 1067, 35 tonnes d’antibiotiques qui ont été vendus sur le territoire français. Le rapport mentionne que le niveau d’exposition des animaux aux antibiotiques, toutes familles confondues, a diminué de 3,9% par rapport à 2008 mais elle a surtout augmenté de 12,6 % entre 1999 et 2009 et ce qui fait de la France le deuxième plus gros consommateur d’antibiotiques en Europe ! Des antibiotiques pour qui et pour quoi ? 44% des ventes d’antibiotiques sont destinés aux élevages porcins. Viennent ensuite les volailles et les bovins avec respectivement 22 et 16%. Dans ces élevages, les antibiotiques sont prescrits pour un usage curatif, préventif et additif. En effet, ils sont prescrits par un vétérinaire si un animal est malade, mais aussi pour traiter tout un élevage si des individus meurent d'une infection bactérienne contagieuse. Enfin, certains antibiotiques sont ajoutés à faibles doses dans l’alimentation des animaux sains. Au total, 50 % des antibiotiques fabriqués dans le monde sont destinés aux élevages ! Nourris aux antibiotiques Ajoutés à la nourriture, les antibiotiques deviennent des additifs alimentaires favorisant la croissance des animaux. Cette pratique concerne la quasi-totalité des porcs, veaux et dindons, les deux tiers des poulets et un tiers des bovins destinés à la filière viande. Leur résultats semblent miraculeux et font le bonheur des éleveurs : les animaux ont moins besoin de manger, grandissent plus vite (gain moyen jusqu’à 9% par jour) et produisent plus de lait dans le cas des vaches ! Une manne financière non négligeable… Des risques importants Quel rapport entre notre santé et un animal nourri aux antibiotiques ? Les bactéries des animaux peuvent devenir, comme celles des hommes, résistantes aux antibiotiques. Elles se dotent alors d’un gène résistant. Si ces bactéries passent chez l’homme, on ne peut alors plus les éradiquer et donc plus soigner certaines infections. Ce fut le cas dès 1950, ce qui amena la Communauté européenne à interdire aux élevages l’utilisation de familles d’antibiotiques utilisées chez l’homme ; ce qui n’est toujours pas d’actualité aux Etats-Unis. De l’animal à l’homme L’histoire pourrait s’arrêter là mais le problème majeur est le passage inévitable des bactéries résistantes de l’animal à l’homme. Ce passage s’opère principalement par la chaîne alimentaire. Certaines bactéries qui prolifèrent dans les tubes digestifs des animaux d’élevages, vont finir dans les excréments pour ensuite contaminer les sols, les eaux et parfois nos assiettes lorsque les règles d’hygiène ne sont pas respectées. Plus rarement, la contamination peut aussi être directe par ingestion si les bactéries survivent à la cuisson. Une fois en contact avec les bactéries de notre flore intestinale, elles peuvent alors leur transmettre le gène de résistance. Des antibiotiques dans nos assiettes Le phénomène de résistance peut aussi être directement lié aux antibiotiques eux-mêmes. Même s’ils sont présents à faible dose dans les additifs, on peut en effet en retrouver des résidus dans la viande ou le lait. Nous ingérons alors ces antibiotiques et développons des résistances à notre insu. Ce phénomène peut aussi subvenir lorsqu’un animal malade est traité dans un élevage. Si les délais ne sont pas respectés, des résidus peuvent alors être observés dans le fromage ou les yogourts si la vache était traitée pour une mammite. Des bactéries très étudiées Certaines familles d’antibiotiques utilisées en médecine humaine principalement dans les hôpitaux sont très similaires à celles utilisées dans les additifs. De récentes recherches ont démontré que les bactéries qui développaient une résistance à l’une l’étaient aussi pour l’autre. Dans ce cas, il devient impossible de soigner les patients lorsqu’ils sont contaminés. Des solutions ? Même si certaines études minimisent l’impact de ces pratiques sur notre santé, un rapport parlementaire relève que la France détient le record européen du taux de résistance aux antibiotiques. Aujourd’hui, seuls les élevages répondant aux normes de l’agriculture biologique ou certifiés par des labels n’utilisent pas ces additifs . Les Suédois les ont interdits depuis 1986. Ceci nécessite des techniques d’élevage différentes avec une hygiène plus sévère et a de fait une répercussion sur le prix de la viande. Autant d’arguments qui devraient nous conforter à changer nos habitudes alimentaires.
Il avait 2 semaines quand il a été arraché à une mort certaine par Pierre Dury. Nourri au biberon toutes les 2 heures, il a grandit et est devenu un animal de compagnie. Il obéit, n'a jamais
causé aucun dégât, il est stérilisé, donc inapte pour la reproduction. Aujourd'hui, parce que la loi le considère comme un animal nuisible, il est menacé...
Voici le lien vers son histoire:http://www.lunion.presse.fr//article/ardennes/«-il-faut-sauver-gamin-»
Signez la petition s'il vous plait pour qu'il puisse vivre en paix pres de son maitre......merci pour lui.
Saint Roch
De par les superlatifs suivants : « Un des saints les plus vénérés dans le monde catholique » , « un des saints les plus populaires » , saint Roch devrait être au-dessus de tout soupçon. Et pourtant malgré sa célébrité sa biographie demeure mystérieuse, peu de saints du Moyen Âge ayant suscité « autant de controverses » . On a même pu mettre « sa réalité historique en doute » et aller jusqu’à nier l’existence du saint. Pour ce côté énigmatique, légendaire et mystérieux saint Roch peut facilement être mis en parallèle avec saint Christophe. A l’exemple d’ailleurs de saint Christophe, saint Roch fait partie des quatorze saints auxiliaires et l’élément canin, même si aucun auteur semble avoir travaillé sur ce lien, y joue également un grand rôle (cf. fig. n° XXVIII).
Sur la vie de saint Roch on dispose, malgré les contradictions typiques pour le Moyen Âge du XII au XIV°s., de faits plus ou moins établis. Il serait né à la fin du XIII°, le Larousse -qui suit fidèlement le récit de la Vie de Saint Roch par le Vénitien Francesco Diedo- évoquant même la date de 1295, avec comme lieu de naissance Montpellier. Toujours selon le Larousse il serait également mort dans cette ville du sud de la France vers 1327. Selon d’autres traditions par contre -notamment les Acta brevoria écrits en Lombardie vers 1430- saint Roch se serait rendu à Rome dans la seconde moitié du XIV° s. pour se mettre au service des pèlerins malades. Ce qui demeure commun aux deux récits et ce qui a contribué à la popularité de saint Roch, c’est le dévouement, sans condition et jusqu’à son propre épuisement et sa propre mort, de ce saint exemplaire aux malades et surtout aux pestiférés.
Dès sa plus jeune enfance saint Roch montre des dispositions extraordinaires : « Quand il eut douze ans, il renonça entièrement à tout ce qu’il y a de plus agréable et de plus éclatant dans le siècle : son seul plaisir était de faire du bien aux pauvres et aux étrangers, et il les assistait avec la même charité qu’il aurait montrée à ses propres frères » . Dieu confère à Roch, selon le récit hagiographique, le don exceptionnel de pouvoir de guérison sur la peste. Roch devient le « médecin des pestiférés » contribuant par le seul acte de toucher de sa main droite le malade en lui faisant le signe de croix, à guérir le malheureux. Sillonnant les villes d’Italie où il guérit les malades de la peste partout où il passe, il rencontre le pape Boniface VIII voire Benoît XI qui voyant « des rayons de lumière sortir de ses yeux et de son visage, reconnut l’excellence de sa vertu ».
De plus en plus fatigué, Roch tombe lui-même malade aux abords de la ville de Plaisance. Ne souhaitant être à la charge de personne, il se retire secrètement dans la forêt voisine et se cache dans une minuscule cabane. C’est là qu’un chien de meute vient régulièrement lui rendre visite, lui apportant toujours de quoi manger, à savoir un petit pain. Le maître du chien, Gothard, un riche, ne s’aperçoit qu’après plusieurs fois du manège de son chien : « …comme il était à table, un de ses chiens vint à lui et lui prit un pain qu’il avait à la main. Il lui sourit, croyant qu’il le faisait par la privauté ou par nécessité, et le laissa faire ; et ce chien porta ce pain à saint Roch. Le lendemain, il fit la même chose à dîner et à souper ». Suivant discrètement son chien, Gothard découvre la malheureuse cachette de saint Roch.
Dieu à travers un autre miracle finit par guérir saint Roch de sa maladie, lui donnant l’ordre de rentrer chez lui à Montpellier. Pour ne pas recevoir les honneurs dans sa ville natale, Roch y rentre si bien caché qu’on le prend pour un espion. On le met aussitôt en prison -c’est même son oncle qui ne le reconnaissant pas et Roch laissant faire l’y met- où il tombe à nouveau malade et finalement meurt, le 16 août, non sans avoir auparavant demander au Seigneur la grâce de préserver et de délivrer de la peste ceux et celles qui imploreraient son secours . Son geôlier découvre à la mort de son détenu non seulement le corps illuminé de saint Roch par « des lampes allumées à sa tête et à ses pieds » mais également un « petit écriteau (…) où ces mots étaient imprimés : Ceux qui étant frappés de peste auront recours à l’intercession de Roch, seront délivrés de cette cruelle maladie » .
La distribution des ossements de Saint Roch et sa demande en patronage de nombreuses villes constituent un signe de son extrême popularité : Montpellier (F), Venise (I), Arles (F), Grenade (E),
Villejuif (F), Salon (F). Le culte de saint Roch se rencontre donc aussi bien en France qu’en Italie et en Espagne. Malgré les doutes quant à l’historicité de tous les éléments précités, nous
partageons l’avis de l’historien Vauchez, selon qui saint Roch était un « pèlerin laïque, peut-être originaire du Languedoc (…) et qui se signala, une fois parvenu en Italie, par son zèle en faveur des malades et son efficacité
thaumaturgique » .
La confrérie fondée en son honneur à Venise, la fameuse Scuola di San Rocco, représente souvent un chien dans les peintures illustrant la vie de son saint patron. Cette confrérie, fondée en 1477 et dont un des grands maître fut le Tintoret, s’était dotée d’une église abritant des reliques de saint Roch. En dépit de son succès, il faudra pourtant attendre le XVII°s. pour que le culte et la vénération de saint Roch soient dotés par l’Eglise catholique romaine d’un statut liturgique et canonique en règle, ce qui permet de dire que dans le cas de saint Roch, c’est surtout le peuple qui a contribué à lui créer une aura de saint avant même d’avoir attendu l’aval de la hiérarchie catholique .
Le chien a-t-il contribué à la popularité du saint ? Ce n’est évidemment de loin pas le point essentiel pour les récits hagiographiques, saint Roch étant surtout invoqué pour prévenir les maladies contagieuses et la peste. Mais cet élément canin, que l’on retrouve surtout dans les représentations picturales et sculpturales, reste très présent dans l’art . C’est probablement l’attribut du chien qui a contribué au choix de saint Roch comme protecteur des animaux, plus particulièrement du bétail. Ainsi les paysans n’hésiteront-ils pas à l’invoquer lors de certaines maladies de leur bétail (peste porcine, épizooties, peste bovine…) . Notons enfin que suite à la « contamination » de l’histoire de saint Roch avec celle de saint Lazare, également patron des lépreux, le chien se verra souvent représenter sur les peintures en train de lécher les plaies de saint Roch .
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LES VETERINAIRES un super site http://www.chat-perdu.org/
Cette méthode a été créée et révélée au grand public sur le net courant
2008 par Mlle Franckhauser Patricia, Responsable de Protection animale Bénévole dans le Var - dite aussi "Tyssia"...
<< Je vous confie ici ma méthode très simple d'emploi pour retrouver votre compagnon chat disparu, s'il est vivant encore, et dans un rayon de > 800 Mètres. Grâce à cette
méthode vous avez un maximum de chances de le retrouver et ce rapidement...
J'expérimente cette méthode depuis plus de vingt années, années d'expérience de
terrain. Etant actuellement responsable bénévole de protection animale, j'ai décidé de vous en faire part. J'espère que cette annonce restera en ligne le plus longtemps possible car elle sera
d'une grande utilité pour les gens qui ont perdu leur chat ou chaton.
Que vous ayez perdu votre chat près de chez vous ou ailleurs, sa réaction sera de se cacher immédiatement, surtout si il ne connaît pas l' où il
vient de s'égarer. S'il le connaît, ce peut être pareil suite à un choc, une douleur, une grosse frayeur, une maladie débutante le perturbant, lui donnant de la fièvre, troublant son audition, sa
vue, etc...
La méthode est simple : à la tombée de la nuit appelez le à très haute et intelligible voix, tous les quarts d'heure ou vingt minutes, durant 5
bonnes minutes pleines et ce chaque demi-heure minimum, durant minimum 3 heures au total, cela vous fait appeler votre chat 6 fois par soirée, plus si vous le désirez.
Faites-le calmement, fortement (tant pis pour les voisins, jusqu'à 22h il n'y pas de tapage nocturne), de la tombée du jour à quelques heures plus tard. Appelez le "sans relâche"
toutes les demi-heures minimum, chaque fois 5 minutes et vous recommencerez chaque soir pendant une dizaine de jours si il le faut.
En général, votre chat va vous entendre dés la "première nuit", mais ne va pas bouger, vous repérer la "seconde nuit" et repérer d'où vient votre
voix et va sensiblement alors tenter de se rapprocher dès qu'il comprendra qu'il peut s'appuyer sur votre voix pour se réorienter et revenir.
Alors il va entamer sa plus longue marche, si il est blessé, affaibli, cela lui sera difficile mais il reviendra même sur 3 pattes !!!!
Il va vous falloir insister pour qu'il prenne confiance, il peut avoir perdu plusieurs kilos, être aphone. En général, il est dans un rayon de 250
mètres ou 300 mètres autour de l'endroit d'où il s'est sauvé et il vous entendra d'encore plus loin, car la nuit, la voix résonne.
Il ne faut pas avoir peur de l'appeler fortement par son nom. Vous pouvez en plus siffler de temps à autre avec un sifflet à ultra sons.
Il ne faut pas s'éloigner du point de départ ou bien, si vous le faites, il faut le héler de l'extérieur du cercle de recherches vers l'intérieur exclusivement, sinon vous allez
éloigner votre chat et ce n'est pas du tout le but.
Pourquoi est-ce que ce la fonctionne ?
Simplement parce qu'un chat vit dans un monde d'odeurs et de sons connus, que s'il se perd ou si il ne voit plus bien suite à un choc, ou autre
raison, il ne retrouve plus ses odeurs, ses marques et se perd, parfois même à 50 mètres de chez lui ou plus près et peut paniquer et se terrer dans un coin, une cave, un tas de bois, un
pare-choc de voiture.
Cela marche après un mois d'absence, comme après plusieurs mois ou un an si le chat reconnaît votre voix. Le tout est que cela soit répétitif, à heures fixes, la nuit, et dure
assez longtemps, que votre chat vous entende et comprenne que les sons seront répétés, chaque soir.
Pourquoi le soir
?
Parce que la nuit porte les sons autrement plus loin vu le calme alentour, la voix porte à plusieurs
centaines de mètres. Le jour, les autres bruits étoufferont le son de votre voix et ce sera peine perdue qu'il vous entende...
Un monsieur de mon village a retrouvé son chat après 3 mois de disparition, c'est actuellement notre record maximum, il est revenu très affaibli mais il revenu.
Je veux finir sur de l'espoir car il faut avoir du cœur au ventre. Là-bas dans la nuit, votre chat vous espère, vous attend, il n'est sans doute pas trop tard, même six mois
après, un an après. Il peut être nourri par une voisine, un voisin qui ne sait pas que c'est le vôtre, et le chat voit mal et surtout assez flou au delà de 6 mètres, il ne distingue pas les mêmes
couleurs que nous et se balade dans un univers de tons relativement gris, d'odeurs, d'où le fait qu'il se perd facilement et souvent pas loin de chez lui..
Si vous avez un peu de patience, beaucoup d'amour, une bonne voix qui porte un peu, pas peur d'appeler et de lancer votre voix dans la nuit et un
brin de chance, vous retrouverez votre chat...
Cette technique est très fiable et fonctionne très très bien, elle va vous
coûter 5 minutes de votre vie chaque vingt minutes, quelques soirées dans votre vie, et vous retrouverez votre gentil compagnon perdu dans la nuit qui doit être terrorisé. Si vous le faites, au
moins vous aurez tenté, plein de gens en ont bénéficié dans mon village, cela fonctionne très bien.
Ne l'attendez pas forcément le premier ou le deuxième soir, persévérez, minimum une dizaine de jours.
En cas de
déménagement
Je souhaite également dire aux gens qui déménagent que le chat a besoin de "plusieurs mois" pour
prendre ses nouvelles marques, et qu'on ne "sort pas un chat" dans son nouveau jardin dès son arrivée, on attend minimum un mois et demi à 3 mois, plus si on peut avant de sortir le chat.
N'oubliez pas au passage de le faire vacciner, stériliser et surtout tatouer avant de le sortir.
Je n'y gagne rien qu'à vous aider à retrouver votre chat et ça c'est du bonheur !!!!...
Les affiches sont obligatoires avec description du chat et son nom, votre téléphone, qui doit rester ouvert le plus souvent possible, dans un rayon de 800 m chez les commerçants
et de partout, poubelles, cabines de téléphone, votre voiture, poteaux, salle d'attente veto et boulangeries, garages, etc... Et le signaler de partout, pompiers, gendarmerie, pm , vétérinaires
alentours, si possible laisser des photocopies de votre annonce là-bas aussi, le signaler disparu auprès de la centrale féline, des spa locales, etc...
Mlle Franckhauser Patricia responsable de Protection Animale dans le var, créatrice de la "Méthode simple pour retrouver son chat perdu"
Sur les affiches une photo est recommandée:
MINOES
A DISPARU DEPUIS LE 15 AVRIL 2011
ELLE EST PUCEE N0 250269602385167
STERELISEE " YEUX JAUNES "
Elle ne s'est pas sauvée,
IL LUI EST ARRIVEE QUELQUES CHOSES
/ ACCIDENT/ PIEGAGE/ VOL POUR LA FOURRURE / LES LABORATOIRES.
Tous vos temoignages sont les Bienvenues !!!!
Contactez moi au 06 37 43 28 17 ou au 01 34 71 96 10
à diffuser LARGEMENT